Le soleil brille sur les terres flamandes, mais au loin les cris de combats raisonnent .Les cloches sonnent, les pigeons s’envolent et les fidèles d’Antwerpen s’approchent de l’église.Mes amis, mes soeurs, mes frères, mes enfants, Soyez les bienvenus dans la maison du Seigneur.
La paix règne aujourd’hui sur notre beau comté et la prospérité est revenue après l’attaque de la mairie. Mais que ce bonheur matériel ne nous fasse pas oublier ce qui se passe dans les terres voisines et que nos bien aimés soldats sont parties au plus proche de la bataille. Ayons maintenant, filles et fils de dieu, une pensée pour eux:
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Ayons une pensée aussi pour le toujours dévoué lohan arrêté par la police du comté. Ce vaillant soldat a été mis contre son gré face à un choix cornélien : un choix entre la défense de sa religion et le respect de sa terre natale. Ce choix est pour l’instant facile, tant qu’il n’y pas de combat. Mais quel sera le choix de chacun quand il faudra tuer son frère breton ?
Lohan a choisi de ne pas s’aveugler, et de faire face sachant que ce choix viendrait. Son choix de rejoindre la Bretagne est peut-être discutable, mais l’est aussi le choix de défendre des alliés pookaistes qui parfois n’hésitent pas à se montrer intolérants.
Aussi, sachons comprendre le choix de ce soldat et sachons ne pas le traiter trop durement. Ce soldat n’a pas demandé à être confronté à ce dilemme et je demande au comté de ne pas punir de façon outrancière ce soldat.
Montrez que la Flandre est aimante, juste et tolérante.
Soutenons le, comme nous soutenons tous nos soldats.
Prions pour que la guerre cesse et appelons une fois de plus, par nos chants, à la paix :
Je vous laisse la paix,
Je vous donne ma paix
Pour que vous la portiez
Autour du monde entier.
Aimez-vous comme je vous ai aimés,
Aimez-vous chacun comme des frères,
Aimez-vous, je vous l’ai demandé,
Aimez-vous, aimez-vous !
Soyez témoins d’amour,
Soyez signes d’amour
Pour que vous le portiez
Autour du monde entier.
Aimez-vous comme je vous ai aimés,
Aimez-vous chacun comme des frères,
Aimez-vous, je vous l’ai demandé,
Aimez-vous, aimez-vous !Approchez maintenant, vous, fidèles de l’église aristotélicienne, et célébrons l’Eucharistie.
Je confesse à Dieu tout-puissant, je reconnais devant mes frères, que j'ai péché, en pensée, en parole, par action ou par omission. C'est pourquoi je vous demande, mes amis, mes frères et tout les Saint de l'église Aristotélicienne, de prier avec moi le Seigneur notre Dieu.
Amen.
Le Seigneur soit avec vous.
Et avec votre esprit.
Que Dieu tout-puissant vous bénisse,
Le Père, le Fils et le Saint-Esprit.
Amen.
La messe de la semaine prochaine sera jour d’accueil pour notre communauté aristotélicienne car nous accueillerons par le baptême, de nouveaux fidèles au cœur même de l’église.
Je vous remercie tous et j’espère que l’amour et la raison se feront armes contre les ténèbres
Les cloches sonnèrent de nouveaux, réveillant une fois de plus les pigeons endormis sur le toit de l’église.